Ce n’est pas parce qu’un homme possède des richesses qu’il ne peut entrer dans le Royaume des Cieux, c’est parce que ces richesses le possèdent.

Il n’est pas bon qu’un serviteur recherche les richesses, les honneurs et la gloire dans un monde où son Seigneur a vécu dans la pauvreté, l’humilité et le mépris.

Si votre trésor est sur la Terre, vous vous en éloignez ; mais s’il est au Ciel, vous vous en rapprochez.

La vraie mesure de la richesse d’un homme est ce qu’il vaudrait s’il perdait tout son argent.

Onze milliardaires auraient trouvé la mort dans le naufrage du Titanic…

Le Major a. H. laissa dans sa cabine un coffret contenant 300 000 dollars en billets, bijoux et titres boursiers. « À ce moment-là, l’argent me semblait dérisoire, disait-il plus tard. J’ai laissé tout ça, et j’ai pris trois oranges. »

La pire des pauvretés, c’est d’avoir plus qu’il ne faut tout en pensant qu’on n’a pas assez.

Il n’y a rien de mal à posséder beaucoup d’argent, il peut être un précieux serviteur. Mais être possédé par l’argent, c’est être possédé par un démon, et l’un des pires, l’un des plus méchants qui soient.

Il est dur d’être pauvre… Mais pire encore d’être endetté. Lorsque vos dépenses dépassent vos ressources, vous courez à votre perte.

Loin d’être une malédiction, les richesses peuvent être une bénédiction du Seigneur. Dieu nous les donne, non pas pour être amassées, mais partagées.

Imaginons que, du jour au lendemain, vous acquériez, ou perdiez, une grosse somme d’argent…  C’est l’un des tests les plus sévères, et votre réaction en dira long sur votre force de caractère.

Un homme sage ne cherche pas à devenir riche. Il possède des ressources intérieures qui dépassent de loin les richesses que la Terre peut offrir.

Le temps et l’argent sont les plus lourds fardeaux de la vie. Et les plus malheureux parmi les mortels sont ceux qui en ont trop et ne savent pas quoi faire avec.

Vous ne pourrez pas emmener votre argent au Ciel avec vous… Mais vous pouvez déjà l’y envoyer.